Il existe une différence particulière dans la signalisation routière : la signalisation verticale et la signalisation horizontale. Il convient d’y prêter attention, non seulement pour le conducteur, mais aussi pour les autres personnes concernées.
Signalisation routière horizontale
La signalisation horizontale est constituée de l’ensemble des bandes et marquages que l’on peut trouver sur la chaussée. Ils ont une fonction prescriptive ou de signalisation et réglementent la circulation des véhicules et des personnes. Le terme « marquage au sol » a été introduit par le Code de la route en 1992 pour remplacer l’expression « signalisation sur la chaussée ». En parlant de marquage routier, il convient d’évoquer la hiérarchie des panneaux de signalisation. Par ordre d’importance, au sommet de la hiérarchie se trouvent les panneaux de signalisation manuels, suivis des panneaux lumineux (lire les feux de signalisation), des panneaux verticaux et enfin des marquages routiers. Selon leurs besoins, les collectivités locales et territoriales, les établissements privés ou encore les entreprises peuvent solliciter l’expertise d’une entreprise marquage au sol en Essonne. Située à ZAE du Rond de Bel Air 110 Rue Newton 77240 Cesson, A.D.S.R peut vous accompagner et vous guider dans vos projets d’aménagement des routes et des espaces urbains.
Qu’est-ce que la signalisation verticale ?
La signalisation verticale est l’ensemble des panneaux que l’on trouve sur les routes. Les panneaux de danger, les panneaux de prescription, les panneaux d’indication et les panneaux complémentaires entrent dans cette catégorie. Il peut être intéressant de retracer l’histoire qui a conduit à l’évolution et à la mise en place de la signalisation verticale. Le premier panneau entrant dans cette catégorie était celui qui indiquait le passage à niveau. Puis, au début du 20ᵉ siècle, une Commission permanente pour la signalisation routière fut créée. Cette commission a établi l’importance d’indiquer clairement les distances, les passages à niveau, les virages, les directions et les carrefours. Dans la pratique, la signalisation routière verticale a été divisée en trois catégories principales : les panneaux de direction, les panneaux de ralentissement et les panneaux de danger. Enfin, il a été établi que ces catégories devaient se voir attribuer une forme spécifique : triangulaire pour les signaux de danger ; flèche pour les signaux de direction ; circulaire pour ceux de prescription ou de discipline. Une subdivision qui, bien qu’ayant évolué, se retrouve encore aujourd’hui.
Les panneaux verticaux les plus courants
Les panneaux de danger font partie de la signalisation verticale et sont facilement reconnaissables. Ils ont la forme classique d’un triangle dont l’un des sommets est dirigé vers le haut et sont généralement placés à 150 mètres du début du danger qu’ils signalent. Ces panneaux imposent aux conducteurs un comportement approprié. Les exemples sont nombreux : la route tortueuse, la bosse, le virage dangereux, la bosse et le passage à niveau. Mais aussi les passages piétons, les descentes dangereuses, les montées raides, les goulets d’étranglement, les passages pour enfants ou animaux, les chutes de pierres, les travaux routiers et bien d’autres encore. Ce ne sont là que quelques-uns des panneaux qui entrent dans cette catégorie.
Les différences entre la signalisation routière verticale et horizontale
La loi indique que les usagers de la route sont tenus de se conformer aux prescriptions établies au moyen de la signalisation routière, qu’elle soit verticale ou horizontale. Le même règlement établit que les prescriptions de la signalisation verticale prévalent sur celles de la signalisation horizontale. En revanche, cela ne signifie pas que la signalisation horizontale soit moins importante. En effet, le respect de tous les signaux introduits par le Code de la route est le premier pas indispensable vers la sécurité routière, pour ceux qui conduisent, mais aussi pour tous ceux qui participent à l’événement.